Paris, le 26 janvier 1997
Ma chère fille
Mon affliction est lancinante. Je ne puis le
dépeindre. J’eus beau essayer de la surmonter, je n’ai pas réussi. Les réveils
de la nuit ont été noirs et les journées sombres. Quelle cruelle séparation en
effet !
Affectueusement
Ton père qui t'adore
J’ai reçu ta lettre qui m’a remis dans les premiers
transports. Après ton départ avec ton conjoint, on ne respire plus dans la
maison que solitude et amertume.
J’aurais aimé que ma réponse soit plus gaie, mais
pardonnez ma faiblesse. C’est plus fort que moi.
Affectueusement
Ton père qui t'adore
tres bien mais tu as oublier de transformer *j'ai reçu* en passé simple
RépondreSupprimerkhask tsta3ml les temps de recit
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